
Dans ses œuvres d’art abstrait et semi-abstrait, l’artiste peintre Hélène Lachapelle nous invite, sur le fil de son imaginaire, dans des mondes intérieurs où, du vide, émerge le mouvement, entre ciel et terre et bien au-delà.
Traversant les frontières et unifiant les mondes visibles et invisibles, elle nous invite dans des réalités plus vastes, même infinies, découlant de l'intuition et de l'imagination. Projetez-vous dans ses rêves, laissez-vous transporter et découvrez ses univers!
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Distinctions 2025

Un honneur semé dans la lumière
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Le Gala Semeur de culture de la Ville de Saint-Eustache
honore celles et deux qui, à travers leurs créations, participent à faire rayonner la culture au sein de notre communauté.
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Recevoir cette reconnaissance me touche profondément, car elle vient célébrer non seulement mon travail, mais aussi le cheminement intérieur qui me guide depuis toujours. Elle est aussi un témoignage de l'importance de cultiver ce qui nous anime profondément et de laisser la beauté éclore là où elle est appelée à grandir.
Prix Coup de coeur du public Blainville-Art
Cette oeuvre "Transcender" s'accompagne d'un poème de Anna Louise E. Fontaine, amie de l'artiste :
"Le souffle porte le désir
à travers le chaos
ensemencé d'une vision
qu'elle ne peut m ême encore nommer
pour se connaître et s'exprimer
avant de doucement se coucher
comme un soleil
qui s'éteint dans le silence
paisible d'être ainsi révélée."
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Exploration du mouvement par la libération de l'intuition
En quête d'authenticité et à la découverte de la beauté, je cherche entre ciel et terre le geste libre, le mouvement qui m'amène et me ramène toujours au-dedans de moi.

Hélène Lachapelle artiste
en art abstrait et semi-abstrait
L’artiste peintre, Hélène Lachapelle est née en 1954 à Montréal et réside à Saint-Eustache, dans les Basses Laurentides, au Québec, Canada.
Déjà enfant, elle aime dessiner puis, à l’adolescence, se réfugie volontiers dans des mondes silencieux, mystérieux, singuliers, parfois surréalistes dont elle ne comprend pas vraiment le sens. Elle débute sa quête en peinture dès la mi-vingtaine et c’est à ce moment qu’elle reconnaît en elle ce besoin de créer, de laisser parler son imaginaire. Elle entreprend dès lors de s'initier à diverses techniques, de faire l'apprentissage de différents medium. Toujours, elle revient à son idéal et reste fidèle à sa voix. Elle s'amuse à créer ses propres images, à dialoguer avec l'artiste qui l’habite et à découvrir ce qu’elle aime appeller « sa part manquante ». Son rêve: créer un pont, une connexion, entre l'invisible et la densité du monde matériel.
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Comme l’a écrit Christian Bobin dans son livre «L’épuisement : un orage », « Je crois que c’est ça un artiste. Je crois que c’est quelqu’un qui a son corps ici et son âme là-bas, et qui cherche à remplir l’espace entre les deux en y jetant de la peinture, de l’encre ou même du silence. »